Result of the research : 'tradition'
Le Zanzi : par traditions les différentes rôles que tiennent les commissionnaires sont tirés au Zanzi, jeu de dés où le gagnant aura la tâche la moins ingrate Comme le 421, il s'agit de réaliser la meilleure combinaison en trois lancés
maximum. le nombre de lancé est déterminé par le premier joueur. seul le
joueur qui a réalisé la meilleure combinaison marque ses points et entame le
lancé suivant. Comme au dix mille, le vainqueur est celui qui atteint le premier le total final
déterminé par avance. Combinaisons :le zanzi : le zanzi est un brelan d'as, de six, de cinq ainsi de suite
jusqu'au brelan de deux. tous les brelans ont la même valeur (300 points) mais
les as sont plus forts que les six, qui sont plus forts que les cinq et ainsi de
suite. le calcul des points des autres combinaisons se détermine de la façon
suivante : un as vaut 100 points, un six = 60 points, un cinq = 5 points, un
quatre = 4 points, un trois = 3 points et un deux = 2 points. les combinaisons se lisent comme au 421 du plus fort au plus faible (ex. 1,6,2
se lit 621 et vaut 60 + 2 + 100 = 162 points). le rampo : le rampo c'est effectuer le même score qu'un adversaire. dans
ce cas, les joueurs ayant effectué le rampo se départagent par un lancé
unique et le vainqueur marque le nombre de points du rampo. le premier joueur du
départage est celui qui a la "main chaude" soit le dernier a avoir
effectuer le rampo.
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Regards sur les arts primitifs NICOLAS JOURNET
Partager : Comment percevoir les arts primitifs ? Un colloque analyse les points de vue opposés des esthètes - l'objet est beau - et des anthropologues - l'objet est révélateur de la culture. Un peu cachés par un intitulé exagérément neutre (« Art et anthropologie : perspectives »), les propos du colloque international qui s'est tenu au siège du CNRS parisien du 6 au 8 novembre 2002 ne pouvaient que tinter aux oreilles des responsables du futur musée du quai Branly, consacré aux Arts et Civilisations. Ce grand projet, que l'on peut dire présidentiel, a en effet soulevé ces dernières années quelques tempêtes dans le milieu de l'anthropologie, avant d'être - de bon ou mauvais gré - accepté par la communauté scientifique. A l'origine de cette querelle : le démantèlement du musée de l'Homme, établissement scientifique, au profit d'une autre structure, plus soucieuse de mettre en valeur les arts dits primitifs (ou « premiers », en langue châtiée). Quelle différence ? Soit une collection de magnifiques pagnes trobriandais, ouvragés et empourprés avec goût. On n'en fera pas la même exhibition selon qu'on y voit un objet rituel offert lors d'une cérémonie mortuaire, un « échantillon de culture », un exemple de technologie mélanésienne... ou une parure puissamment décorative, un « bel objet ». Conflit de registres Cette tension est bien illustrée par le propos de Nathalie Heinich : entre « esthètes » et
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LES GRANDES EXPOSITIONS COLONIALES : Les expositions coloniales furent organisées au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle dans les pays européens. Elles avaient pour but de montrer aux habitants de la Métropole les différentes facettes des colonies. Les expositions coloniales donnaient lieu à des reconstitutions spectaculaires des environnements naturels et des monuments d'Afrique, d'Asie ou d'Océanie. La mise en situation d'habitants des colonies, souvent déplacés de force, les fera qualifier dans les années 2000 de zoos humains. La France compte alors 41,8 millions d'habitants et son Empire colonial, second derrière celui du Royaume-Uni, 67 823 000 personnes pour une superficie de 12 356 637 km².
1866 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Intercolonial Exhibition of Australasia) 1870 : Exposition Intercoloniale de Sydney (Intercolonial Exhibition) 1875 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Victorian Intercolonial Exhibition) 1876 : Exposition Intercoloniale de Brisbane (Intercolonial Exhibition) 1883 : Exposition Internationale et Coloniale d'Amsterdam (Internationale Koloniale en Untvoerhandel Tentoonsellung) 1886 : Exposition Coloniale et Indienne de Londres (Colonial and Indian Exhibition) 1894 : Exposition Internationale et Coloniale de Lyon. Elle vit l'assassinat du président de la République Sadi Carnot. 1894 : Exposition Insulaire et Coloniale de Porto (Exposição Insular e Colonial Portuguesa) 1898 : Exposition internationale et coloniale de Rochefort-sur-Mer 1902 : Indo China Exposition Française et Internationale de Hanoï 1902 :
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LES GRANDES EXPOSITIONS COLONIALES : Les expositions coloniales furent organisées au XIXe siècle et dans la première moitié du XXe siècle dans les pays européens. Elles avaient pour but de montrer aux habitants de la Métropole les différentes facettes des colonies. Les expositions coloniales donnaient lieu à des reconstitutions spectaculaires des environnements naturels et des monuments d'Afrique, d'Asie ou d'Océanie. La mise en situation d'habitants des colonies, souvent déplacés de force, les fera qualifier dans les années 2000 de zoos humains. La France compte alors 41,8 millions d'habitants et son Empire colonial, second derrière celui du Royaume-Uni, 67 823 000 personnes pour une superficie de 12 356 637 km².
1866 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Intercolonial Exhibition of Australasia) 1870 : Exposition Intercoloniale de Sydney (Intercolonial Exhibition) 1875 : Exposition Intercoloniale de Melbourne (Victorian Intercolonial Exhibition) 1876 : Exposition Intercoloniale de Brisbane (Intercolonial Exhibition) 1883 : Exposition Internationale et Coloniale d'Amsterdam (Internationale Koloniale en Untvoerhandel Tentoonsellung) 1886 : Exposition Coloniale et Indienne de Londres (Colonial and Indian Exhibition) 1894 : Exposition Internationale et Coloniale de Lyon. Elle vit l'assassinat du président de la République Sadi Carnot. 1894 : Exposition Insulaire et Coloniale de Porto (Exposição Insular e Colonial Portuguesa) 1898 : Exposition internationale et coloniale de Rochefort-sur-Mer 1902 : Indo China Exposition Française et Internationale de Hanoï 1902 : Exposition Internationale et Coloniale des Etats-Unis de New York (United
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The works are presented in a geographical journey of productions ranging from West to East, both from Gabon to Congo:
* The Fang peoples and related
* The Kwele
* The Mbede-Kota
* The Tsogho, Galwa, Aduma, Vuvi and Teke (Tsaayi)
* The Ngbaka, and Ngbandi Ngombe
* The Mbole, Yela, Metoko, Komo, Jong, Lengola and Kela
* The Lega and Bembe
THE FANG:
THE KWELE: they live on the northern border of the Republic of Congo, and have used a type of mask called Ekuk, they are flat masks, which have incised eyes, often a white face in a heart-shaped nose triangle-shaped eyes and coffee bean. these masks were hung in homes rarely worn during ceremonies, initiation Bwetes worship, their function was to conduct a village to enable forces are beneficial Bwetes capita.
THE KOTA: Living in the eastern part of Gabon, on the border with the Republic of Congo, Kota, include a number of tribes, such as Mahongwe the Sango, the Obamba, and Shamay, who practice the same rituals and shared cultural traits. They probably migrated southward during the 18th, and now live in the valley of the river, Ogonoué in a forest environment. from their economic resources, sutout hunting and agriculture. Kota the past, had the habit of leaving their dead exposed to the elements in the forest. Under the influence of neighboring tribes, they began to bury their cefs and keep their bones (mainly the skull) to place them with
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Congo River Exhibition from June 22 to October 3, 2010 - Quai Branly -
Practical information
Date: Tuesday, June 22, 2010
on Sunday, October 3, 2010
Times: Tuesdays, Wednesdays and Sundays from 11h to 19h Thursday, Friday and Saturday from 11am to 21pm
Location: East Mezzanine
Fares: Ticket collections
37 Quai Branly
75007 Paris
01 56 61 70 00
Metro: Iena
EXPOSURE:
The Musée du Quai Branly This summer, through 170 documents and 80 major works, a major exhibition devoted to the artistic traditions of Central Africa, including Gabon, Republic of the Congo and the Democratic Republic of Congo.
Real journey of leading the visitor of the northern forests to savannas, South exhibition demonstrates the links between works produced in the regions bordering the Congo River, for various populations of Bantu languages.
Behind the variety of masks and sculptures Fang, Hemba, kweli or kota, the exhibition highlights the major works of Central Africa, in their design, structure and artistic connections that bring them closer.
The three themes of the exhibition, common core to these peoples iconophiles are complementary:
* Masks and statues with the "heart-shaped face, and ensure the unity and identity of the respective groups;
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The group Ashanti are one of the ethnic groups of all Akan in Ghana.
They speak Twi is a dialect of Akan belonging to the Kwa group of languages.
Flag of the Ashanti
Geographical
Empire Asante in Ghana
Asante federation grows in the thirteenth century. Kumasi is the capital . In the nineteenth century, the civilization reached its peak and occupies nearly 70% of modern Ghana.
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Les Dogons sont un peuple du Mali, en Afrique de l'Ouest. Leur population totale au Mali est estimée à 700 000 personnes[1]. Ils occupent la région, nommée Pays Dogon, qui va de la falaise de Bandiagara au sud-ouest de la boucle du Niger. Quelques Dogons sont installés dans le nord du Burkina Faso, d'autres se sont installés en Côte d'Ivoire.
Les Dogons sont avant tout des cultivateurs (essentiellement du mil) et des forgerons. Ils sont réputés pour leur cosmogonie et leurs sculptures. La langue parlée par les Dogons est le dogon qui regroupe plusieurs dialectes. Il existe aussi une langue secrète, le sigi so, langue réservée à la société des masques. Les Dogons sont liés avec l’ethnie des Bozos par la parenté à plaisanterie. Dogons et Bozos se moquent réciproquement, mais parallèlement se doivent assistance.
Sommaire
Histoire
Les Dogons seraient venus du Mandé, région située au sud-ouest du Mali au XIVe siècle pour éviter l'islamisation.[2]), le plateau (région de Sangha) et la plaine.[3] Ils se seraient installés à Kani Bonzon avant de se disperser sur trois sites que sont la Falaise de Bandiagara (site mis en 2003 sur la liste mondiale du patrimoine de l'UNESCO. Cette falaise était alors habitée par les Tellem, portant aussi le nom de kurumba. D'après les Dogons, les Bana ont précédé les Tellem. Même s'ils ont longtemps subi la domination des divers peuples ayant créé de grands empires ou royaumes, les Dogons ont toujours su conserver leur indépendance à cause de la difficulté
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Who are the Baule?
About three million people living mainly in central Ivory Coast are defined as Baule. Yet after a closer study it semblairaient these men identify with villages or village clusters (ranging from 4 to 12) as an ethnic group. although the Baule ethnic reality remains msytérieuse can not be denying the existence of a style Baule. artists who use this style talk Baule and abroad their art is known as Baule for over a century.
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La Galerie
La Galerie l'Oeil et la Main, dirigée par Armand Auxiètre, présente des expositions emblématiques des Arts Premiers Africains. Collectionneur de père en fils, Armand Auxiètre propose une sélection rigoureuse de pièces d'exception depuis 2004.
Située au coeur du Carré Rive Gauche,fief des galeries d'antiquités les plus renommées de Paris,la galerie bénéficiede l'atmosphère toute particulière du calme et du charme de la rue de Verneuil qu'affectionnait tant Serge Gainsbourg. l'expertise et le marché de l'art africain aujourd'hui
Le marché de l'art africain, réservée par tradition à des artistes comme André Breton, des ethnologues comme Jacques Kerchache, des écrivains comme André Malraux, des politiques, ministres et présidents de la République notamment Jacques Chirac à qui l'on doit la création du musée des Arts Premiers du Quai Branly, a vu sa cote de popularité s'épanouir auprès de nouveaux amateurs soucieux de s'ouvrir à de nouvelles connaissances esthétiques et philosophiques. Devant cet engouement d'un public toujours plus sélectif, la galerie l'Oeil et la Main propose une expertise concrète de l'authenticité des oeuvres présentées. L'univers du monde baoulé
L'objet d'art comme pensée subversive
Les objets d'art de cette ethnie du centre de la Côte d'Ivoire sont considérés par les occidentaux comme l'une des réussites les plus achevées de l'art africain, tant par leur raffinement que par leur diversité. Cependant leur
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Exposition « Mumuye »
ART GALLERY L'OEIL ET LA MAIN
41 RUE DE VERNEUIL 75007 PARIS
EXPOSITION DU 2 NOVEMBRE AU 6 DECEMBRE 2009
WWW.AFRICAN-PARIS.COM
Le Nigéria demeure l'un des pays africains les plus dynamiques en matière de production artistique, et ce dans tous les domaines. C'est à la sculpture nigériane et à ses artistes que la galerie L'Oeil et la Main a choisi de rendre hommage, à travers l'exposition "Mumuye". C'est
une vision à la fois globale et diversifiée de l'esthétique mumuye qui est proposée aux visiteurs et aux collectionneurs, à travers la présentation d'une quinzaine de pièces d'une grande qualité plastique.
Le groupe ethnique des Mumuye est situé au Nord-Est du Nigéria et se compose de sept sous-groupes aux coutumes et aux croyances distinctes. Leur origine commune se situerait, selon la tradition orale, plus au Sud du pays. Du fait de la difficulté d'accès à leurs territoires, les Mumuye ont longtemps été préservé de toute influence extérieure, jusqu'à leur soumission définitive aux Anglais dans les années 1950. En effet leur premier contact avec les Européens date de 1892, quand ils prêtèrent main forte au Jukun dans leur lutte contre les Fulani, eux-mêmes armés par les Français.
Les Mumuye vouent un culte au Vabo, c'est à dire aux divinités intermédiaires agissant entre les êtres humains et le dieu suprême La, associé au soleil. La statuaire mumuye a connu un grand succès parmi les amateurs d'art africain
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Exhibition "African Hairstyles"
After the monographic exhibitions devoted to ethnic Mumuye and Bambara, the gallery's eye and the hand begins 2010 with an exhibition on the theme of the often overlooked African hairstyle. Often overlooked as belonging to the sphere of the arts "popular", hair is however of particular importance in Africa, both aesthetically and symbolically.
The hairstyle can both grow its appearance but also to affirm their identity or social status. Some hairstyles are immediately identifiable, such as hairstyling splayed Mangbetu of the Democratic Republic of Congo or the hairstyles solidified ocher Namibia. Others refer to a hierarchical system more complex. Ancient art, hair is also found in modern African art production, through paintings advertising kiosks hairdressers or barbers, or in African-American fashion. Both ornaments and symbols of identity, the hairstyles worn by different ethnic groups are reflected in their art. Although they represent gods or ancestors, masks and statues are the hairstyles of the living.
In Africa the hairstyle is still practiced by family members or trusted friends. In addition to the social aspects of the event, the hair, placed in the hands of enemies, could become an ingredient in the production of dangerous charms or "medicines" that could hurt their owners. Mostly it is women cap the women and men that cap men.
As scarification, hairstyles to identify gender, ethnicity, stage reached by the person in the cycle of life, status and personal taste. Scholars,
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L'ART DES BAOULES par Suzanne VOGEL Les artistes baoulé de Côte d'Ivoire ont créé des objets d'une esthétique quasiment inégalée dans l'art africain traditionnel, que ce soit par leur raffinement, leur diversité, leur profusion et la somme de travail qu'ils représentent. Les masques et les statuettes des Baoulés, ont suscité l'engouement des Occidentaux dès leur découverte et ils sont considérés comme l'une des réussites les plus achevées de l'art africain, c'est pourquoi ces sculptures occupent toujours une place prépondérante dans toute exposition ou étude consacrée à l'Afrique. Pourtant, aussi importante que soit leur renommée en Occident, il n'a jamais été facile pour quiconque de voir les représentations de cet art sur les lieux mêmes de sa création, dans les villages baoulé. L'art baoulé est loin de se limiter aux masques relativement naturalistes et aux figures humaines taillées dans le bois, il comprend également une grande variété d'ouvrages en ivoire, en bronze et en or : de grands masques-heaumes représentant des animaux agressifs ou des figures simiesques, et divers objets offrant des myriades de motifs sculptés: des portes, des chaises et des tabourets, des tam-tams, des cuillères, des bâtons, des peignes, des éventails, des frondes, des bols et des assiettes, des poids, etc. Il faut également mentionner des poteries, des bijoux et des tissus, ornés de petites figures humaines ou animales. De manière paradoxale, dans l'ethnie baoulé, seul un nombre limité d'individus ont eu le privilège, toujours potentiellement dangereux, de pouvoir regarder une œuvre d'art, dans le passé comme dans le présent. Un simple coup
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L'ART DES BAOULES par Suzanne VOGEL Les artistes baoulé de Côte d'Ivoire ont créé des objets d'une esthétique quasiment inégalée dans l'art africain traditionnel, que ce soit par leur raffinement, leur diversité, leur profusion et la somme de travail qu'ils représentent. Les masques et les statuettes des Baoulés, ont suscité l'engouement des Occidentaux dès leur découverte et ils sont considérés comme l'une des réussites les plus achevées de l'art africain, c'est pourquoi ces sculptures occupent toujours une place prépondérante dans toute exposition ou étude consacrée à l'Afrique. Pourtant, aussi importante que soit leur renommée en Occident, il n'a jamais été facile pour quiconque de voir les représentations de cet art sur les lieux mêmes de sa création, dans les villages baoulé. L'art baoulé est loin de se limiter aux masques relativement naturalistes et aux figures humaines taillées dans le bois, il comprend également une grande variété d'ouvrages en ivoire, en bronze et en or : de grands masques-heaumes représentant des animaux agressifs ou des figures simiesques, et divers objets offrant des myriades de motifs sculptés: des portes, des chaises et des tabourets, des tam-tams, des cuillères, des bâtons, des peignes, des éventails, des frondes, des bols et des assiettes, des poids, etc. Il faut également mentionner des poteries, des bijoux et des tissus, ornés de petites figures humaines ou animales. De manière paradoxale, dans l'ethnie baoulé, seul un nombre limité d'individus ont eu le privilège, toujours potentiellement dangereux, de pouvoir regarder une
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Ventes Arts Premiers "Les Arts Premiers, Arts Primitifs ou Art Tribal sont présent en Afrique (Mali, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, République Démocratique du Congo, Bénin, Gabon…), avec les civilisations Bambaras, Dan, Fang, Dogons, Bozos, Sénoufos... mais aussi en Océanie (Australie, Papouasie, Nouvelle Guinée, Vanuatu…), en Asie et en Amérique (Mexique, Amazonie, Inuit…). Les objets sont traditionnels : masques, statuettes, poupées, fétiches, boucliers, poteaux, tabourets…"
Ventes aux enchères : juin 2010Samedi 05 - Archéologie - Art africain et océanien 83440 Montauroux - Pays de Fayence Enchères & Estimations
Dimanche 13 Drouot Montaigne Le samedi 12 dimanche 13 juin
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Self-hybridations (1998-2002) : images numériques mettant en
scène l'artiste dans des métamorphoses physiques (virtuelles cette
fois-ci) inspirées des canons de beauté d'autres civilisations. À
l'aide de procédés informatiques, Orlan transforme son image de façon à
se rapprocher des traditions culturelles pré-colombiennes (comme la
déformation du crâne des Mayas),
africaines et amérindiennes. Ce travail est dans la continuité de ses
œuvres précédentes où elle dénonçait les pressions sociales que notre
société inflige au corps et à l'apparence. Ici elle met en scène
l'absurdité de ces critères, qui s'opposent selon l'époque ou la
civilisation dans laquelle on vit. L'image du corps idéal devient
complètement abstraite et ironique.Pour voir toutes les oeuvres de la série Self-hybridations, cliquez ici.
Source: site internet personnel de l'artiste.
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Orlan
Orlan est une artiste plasticienne française née le 30 mai 1947 à Saint-Étienne.
Biographie
Orlan est une artiste multimédia (peinture, sculpture, installations, performance, photographie, images numériques, biotechnologies). C'est une des artistes françaises de l'art corporel les plus connues du grand public en France et à l'étranger. Son œuvre se situe dans divers contextes provocateurs, légitimée par son engagement personnel.
Dès les années 1960, Orlan interroge le statut du corps et les pressions politiques, religieuses, sociales qui s'y impriment. Son travail dénonce la violence faite aux corps et en particulier aux corps des femmes, et s'engage ainsi dans un combat féministe. Elle fait de son corps l'instrument privilégié où se joue la relation entre soi et l'autre.
En 1978, elle crée le Symposium international de la performance, à Lyon, qu'elle anime jusqu'en 1982. Son manifeste de l'"art charnel" est suivi d'une série d'opérations chirurgicales - performances qu'elle réalise entre 1990 et 1993. Avec cette série, le corps de l'artiste devient un lieu de débat public. Ces opérations chirurgicales - performances ont été largement médiatisées et ont provoqué une vive polémique,
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STRENGTH AND MEASUREMENT
The discovery of "primitive art": an art of strength
Shapes and shape functions
Deities and ancestors
The living wood
Force and Measurement
Develop an aesthetic of black Africa is seen as a risky business in many ways. Is it legitimate to isolate these objects, that today we call art, the general framework of their relations and their cultural constraints? Can we submit to a test that has never existed in the minds of their creators? And can we finally see in this art - if we 'take on this term - a uniform phenomenon, despite the wide variety of both regional and local styles we offer this huge continent, following lengthy Historical developments often poorly understood? Finally, remember that this approach excludes large regions, including Africa white, that is to say the Mediterranean area with its ancient history, the eastern and southern Africa whose pastoral peoples have given rise to cultures almost without images, and finally these hunting societies, which, even in our time have not passed the stage of evolution of prehistoric rock paintings which are the main evidence of an artistic production that appears at various points the continent. Similarly, we must exclude from our contribution to the aesthetics of black African art the old feudal societies, including Benin. Our discussion is therefore limited to large areas farmers, the true cradle of
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AFRICAN SCULPTURE
Introduction
Context of African sculpture
Places of traditional African sculpture
Canons of African sculpture
Techniques and creative
Aesthetic
Role of African sculpture in the middle
Universal impact of African sculpture
Bibliographic
Introduction
Never has been written about as much ink as traditional African sculpture. Ever, despite all attempts, the man has managed to evacuate his mental field, much less its history, that is to say of his encounter with the other. It has been a cornerstone to measure the "civilization" of the black man and his ability to create capacity variously appreciated throughout history until early this century, cubism helping, the unanimously begins to make the exceptional nature of African sculpture that was always confused with African art which it is a party, probably the most important, if one were to judge solely by the number Parts created that we have reached.
Context of African sculpture
We can talk about African sculpture in isolation from the rest of the arts of Africa south of Sahara. Every word in this area is responsible not only meaningless but history, and if we chose the term "African art" is to fully assume all we have inherited from the past in
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