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Tribal Art - Jean-Baptiste BacquaSee the continuation... ]
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Communiqué de Presse _ Quai Branly
'exposition
L’art des Dogon du Mali est l’un des plus connus parmi les oeuvres issues des cultures d’Afrique.
Outre les chefs-d’oeuvre qui ont fait la renommée de l’art dogon, l’exposition présente des pièces cultuelles, ou même d’usage quotidien, qui évoquent les préoccupations métaphysiques et esthétiques des populations les ayant produites. Les typologies de ces objets, aux techniques virtuoses et variées, ont été rarement dévoilées en regard des grandes pièces de la statuaire.
Plus de dix siècles d’histoire des peuplements, des influences artistiques et culturelles sont ainsi parcourus à travers un rassemblement unique de chefs-d’oeuvre incontournables et de pièces du quotidien inédites qui témoignent du peuplement progressif du pays dogon et de la richesse de sa diversité stylistique.
L’exposition créée au musée du quai Branly entend restituer toute la force de l’art de la sculpture telle que l’ont conçue les Dogon, qu’il s’agisse du bois ou du métal, de pièces imposantes ou de puissants objets de petite dimension. Hélène Leloup
e parcours de l'exposition
- Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre
Maternité © musée du quai Branly, photo Hughes Dubois
Sur les 2000 m2 de la Galerie Jardin, l’exposition DOGON se compose de trois grandes parties thématiques qui illustrent l’histoire de l’art et de la culture du peuple dogon au travers de productions artistiques variées.
Introduction : Histoire et origines des migrations des Dogon
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Resonnances mythique dans la statuaire du pays Dogon
D’après DOGON, Jean-Louis Paudrat
Dans l’inventaire de la culture matérielle dogon, l’un de ses articles les plus modestes : un déméloir de tresses capillaire en bois dur, adapté à sa fonction, qui est de pénétrer le réseau serré des mècjes. Cet objet usuel s’effile à partir d’une poignée légèrement renflée. Humble décor, quelques incisions en zig zag, et l’ajout de trois brins, d’aluminium, or les définitions traditionnelles de cet instrument sont ainsi formulées : « le témoignage de la création du monde par Amma. « ou bien encore « le doigt d’Amma créant le monde et le montrant « .
La partie qui s’ajuste à la paume est marquée par quatre nervures, les quatre clavicules du démiurge, fermées et prêtes à s’ouvrir, le motif à chevrons champlevés est dit extension des clavicules d’Amma, les trois torsades métalliques blanches comme « l’eau qui enserre les terres » se détachent sur le fond noir comme « les nuages de pluie « . ainsi en réduction ce simple ustensile, constitue t il le modèle de la genèse de l’univers : de l’œuf initial à son ouverture et à la superposition des ciels et des terres.
Geneviève Calame-Griaule, qui rapporte cette interprétation, dans une étude admirable de l’expression orale de l’être au monde Dogon, aura conçu à l’instar de ses pairs , Marcel Griaule, Germaine Dieterlen, Michel Leiris, Denise Paulme, Dominique Zahan et d’autres – la production symbolique propre
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SENOUFO
Issus du "melting pot" ivoirien, les Sénoufo ( littéralement ceux qui parlent le séné ) se déploient jusq'uau Mali. Leur diversité ethnique en explique le
foisonnement artistique dont les masques comme le statuaire combinent à la fois les fonction de divertissement ou de contrôle social ( confréries secrètes,
guérisseurs, sorciers..).
Si le statuaire insiste sur la pureté de la forme et la mixité de divers matériaux ( bois, tissu, fibre végétale, pigments purs), le masque vise à s'approprier
les forces multiples de l'anthropomorphisme comme donnée fondamentale, soit le symbole de l'incarnation du monde des esprits.
C'est dans la perception de cette force que s'exerce le talent des artistes.
Armand Auxiètre, Directeur de la Galerie " L'oeil et la Main " a choisi de présenter pour cette exposition un masque casque Sénoufo qui reprend les critères essentiels de la création plastique Sénoufo qui se partage entre intellectualisme de la ligne et sensualité du modelé organisant ainsi des composition d’un intense dynamisme.
** Masque casque, Sénoufo, Côte d’Ivoire, bois, patine d’usage, métal
Ce masque casque se compose d’un oiseau stylisé affublé de cornes. Cette association corne/oiseau regroupe deux éléments essentiels de la mythologie Senoufo : l’oiseau qui avec son ventre arrondi et son long bec symbolise la procréation et le buffle, évoqué par les cornes, qui aurait transmis aux sénoufo les secrets des plantes guérisseuses. Cette association très rare donne à cette pièce une valeur symbolique inestimable renforcée par la pureté des lignes de la sculpture.
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Dogon
Musée du Quai Branly
05th April 2011 to July 4, 2011
The exhibition features 330 stunning art pieces gathered for the first time and from collections around the world. It provides a chronological overview of the art of the Dogon eighth century to the present day, reflecting its rich diversity of styles, from first contact with Tellem to the development of European taste for the masks and sculpture in the twentieth century. The exhibition shows the impact of migration and subsequent contact with other Dogon peoples of the region's culture and art Dogon. It places a unique technical expertise conducted on the patina of statues and disclaims typologies of everyday objects and daily virtuosic and varied techniques, often presented in terms of major pieces of statuary.
primitive art
Sixteenth century seventeenth century eighteenth century nineteenth century twentieth century
Commissioners
Helene
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Exposition Dogon, d' Avril 2011 a Septembre 2011
DOGON
Exposition du 7 avril 2011 au 31 août 2011
Dominant depuis le XVème siècle les falaises de Bandiagra au Mali, les Dogon sont les héritiers d'une tradition artistique ethnique exceptionnelle : Chaque œuvre d'art témoignant à la fois de l'intimité des familles – les œuvres ne sont pas destinées à être vues mais au contraire conservées dans la pénombre des maisons, telles qu'au sanctuaire- et de la représentation d'une cosmogonie unique qui structure la vie quotidienne comme le rythme et les rituels des cérémonies sociétales ou initiatiques.
Cosmogonie et organisation sociale
Dogon ou Hebbesignifie littéralement " païen "; soit celui qui refuse de s'intégrer à l'Islam.
les Dogon vénèrent le dieu Amma. Amma selon leur cosmogonie avait l'aspect d'un oeuf.
La statuaire Dogon présente toujours des têtes ovoïdes signifiant de ce Dieu du ciel.
Amma est associé à huit ancêtres, représentant la hiérarchie d'une société construite sur un modèle patriarcal.
Ces huit ancêtres répondent à un métier et à des couleurs spécifiques :
Forgeron et potier – rouge et bleu
Agriculteur – blanc et vert
Sculpteur - orange
Danseur – blanc
Commerçant – noir
Le maître de la
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DOGON ART
Dominating from the XIVth century the Bandiagra's cliffs, in Malia, DOGON initiated
a very old artistic production. Line and shape's style is the main criterion to show power
of rites organising their society. Each work is a deep representation of cosmogony structuring
daily life.
A single cosmogony
As a patriarcal society, all professions have a ritual meaning according to God Amma and
his eight ancestors. DOGON
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DOGON
Exposition du 7 avril 2011 au 31 août 2011
Dominant depuis le XVème siècle les falaises de Bandiagra au Mali, les Dogon sont les héritiers d'une tradition artistique ethnique exceptionnelle : Chaque œuvre d'art témoignant à la fois de l'intimité des familles – les œuvres ne sont pas destinées à être vues mais au contraire conservées dans la pénombre des maisons, telles qu'au sanctuaire- et de la représentation d'une cosmogonie unique qui structure la vie quotidienne comme le rythme et les rituels des cérémonies sociétales ou initiatiques.
Cosmogonie et organisation sociale
Dogon ou Hebbesignifie littéralement " païen "; soit celui qui refuse de s'intégrer à l'Islam.
les Dogon vénèrent le dieu Amma. Amma selon leur cosmogonie avait l'aspect d'un oeuf.
La statuaire Dogon présente toujours des têtes ovoïdes signifiant de ce Dieu du ciel.
Amma est associé à huit ancêtres, représentant la hiérarchie d'une société construite sur un modèle patriarcal.
Ces huit ancêtres répondent à un métier et à des couleurs spécifiques :
Forgeron et potier – rouge et bleu
Agriculteur – blanc et vert
Sculpteur - orange
Danseur – blanc
Commerçant – noir
Le maître de la parole/tissage – vert.
Masques et Statuaire Dogon
Associés au culte des
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AFRICA COLORS
exhibition from September 30 to December 6, 2010
This new exhibition offers a unique ethnic landscape through the theme of color in African art. Masks of War Dan masks Ibibio of Nigeria, Armand Auxiètre,
Gallery director "The eye and hand" presents a selection
representative works of customs or practices of these civilizations:
Pure and simple, the colors are chosen by the artists
to evoke in turn respect for ancestors, virility new initiates, death ... Gallery Eye and the Hand invite you to discover the symbolic
* Mask Anang, Language Arts Ibidio, Nigeria, XX, Wood and pigments.
According Fagg this hairstyle could mimic that of the wives of missionaries. This mask was probably made in the years 20/30 by famous sculptor Akpan Chukwu death in the early 50 or by one of his disciples.
Some features like the nose rounded chin bulging contours clearly defined eyes and lips that speak for attribution. Mask probably the same time and same sculptor is the Musée Barbier Muller.
Opening Thursday, September 30, 2010, from 6:30 p.m.
Art Gallery of eye and hand
41 rue de Verneuil
75007 Paris
contact@agalom.com
www.african-paris.com
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L’art indigène des colonies françaises _ Pavillon de Marsan
(Louvre, Paris) 1923 Stéphane Chauvet et l’exposition du pavillon de Marsan Stéphane Chauvet est né le 27 Novembre 1885, à Béthune dans
le Pas de Calais, il était normand d’origine, riche d’une magnifique hérédité
scientifique et intellectuelle. Son père inventa la lampe à arc et le treuil
Chauvet qui révolutionna les conditions d’exploitation des mines. Entraîné dans ce courant très jeune, Stephen Chauvet
manifesta une vivacité d’intelligence dont on rencontre peu d’exemples. Lauréat
au concours général, bachelier de philosophie à 15 ans, le naturaliste Mangin,
directeur du Museum, frappé par ses dons d’observation l’arrache à la
préparation de polytechnique pour l’orienter vers la médceine et les sciences
naturelles. Depuis le jour où après la guerre 14-18 il obtint de la veuve du
commandant Bertrand revenant de >Zinder une petite statuette féminine du
Soudan et un masque double, Chauvet fut touché par la grâce de l’art nègre et
par le démon de la collection. De 1920 à 1935 quinze années durant il sera un des plus
surts animateurs de ce mouvement qui oriente l’opinion publique vers les arts
indigènes et en particulier
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Regards sur les arts primitifs NICOLAS JOURNET
Partager : Comment percevoir les arts primitifs ? Un colloque analyse les points de vue opposés des esthètes - l'objet est beau - et des anthropologues - l'objet est révélateur de la culture. Un peu cachés par un intitulé exagérément neutre (« Art et anthropologie : perspectives »), les propos du colloque international qui s'est tenu au siège du CNRS parisien du 6 au 8 novembre 2002 ne pouvaient que tinter aux oreilles des responsables du futur musée du quai Branly, consacré aux Arts et Civilisations. Ce grand projet, que l'on peut dire présidentiel, a en effet soulevé ces dernières années quelques tempêtes dans le milieu de l'anthropologie, avant d'être - de bon ou mauvais gré - accepté par la communauté scientifique. A l'origine de cette querelle : le démantèlement du musée de l'Homme, établissement scientifique, au profit d'une autre structure, plus soucieuse de mettre en valeur les arts dits primitifs (ou « premiers », en langue châtiée). Quelle différence ? Soit une collection de magnifiques pagnes trobriandais, ouvragés et empourprés avec goût. On n'en fera pas la même exhibition selon qu'on y voit un objet rituel offert lors d'une cérémonie mortuaire, un « échantillon de culture », un exemple de technologie mélanésienne... ou une parure puissamment décorative, un « bel objet ». Conflit de registres Cette tension est bien illustrée par le propos de Nathalie Heinich : entre « esthètes » et
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ART GALLERY EYE AND HAND
41 rue de Verneuil 75007 PARIS
December 4, 2009 EXHIBITION IN February 4, 2010
Www.african-PARIS.COM
The Bambara (or Bamana) are one of the most famous and most studied of West Africa. They occupy the whole central part of Mali is the largest ethnic group constitutes the country. Their artistic production, early discovery in France because of the introduction of French settlers in the region, is very popular with art collectors of West Africa. The diversity of this production (masks, statues, religious objects ...), due to complexity of cosmology and the system of religious thought has always fascinated the Europeans, especially the French, on their territory from the beginning twentieth century. Perpetual exchange of different groups of West African Bambara allowed to create art with many complex symbols, creating hybrid objects (such as headdresses ciwara) or embodying an aesthetic ideal (female figures jonyeleni).
The Eye Gallery and the Main has a new exhibition celebrating the diversity of Bambara art and creativity of its artists, who have shaped objects and powerful complex valued and exhibited
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La collection Kerchache aux enchères Le 21 mai 2010 à 01H00 - LesEchos Je me souviens de Jacques Kerchache, épuisé mais rayonnant, réglant l'implantation des vitrines au millimètre près. (…) A mes yeux, ces salles sont le reflet de son âme. Elles reflètent son amour des oeuvres et des hommes qui les ont créées » (1). C'est Jacques Chirac qui témoigne ainsi de son amitié envers Jacques Kerchache en décrivant son implication lors de l'ouverture du pavillon des Sessions du Louvre, dont les dix ans d'existence viennent justement d'être fêtés. Il était né d'un père mi-kabyle mi-catalan et d'une mère belgo-helvético-hollandaise. Il avait épousé Anne, mi-sénégalaise, mi-vietnamienne. Et, dès l'âge de douze ans, ayant rencontré par hasard l'écrivain et journaliste Max-Pol Fouchet, qui le prend sous son aile, il cherche à découvrir les cultures du monde. Les 12 et 13 juin prochain, l'étude Pierre Bergé et Associés disperse le contenu de ses pléthoriques collections : 403 lots estimés 4,9 millions d'euros. Son épouse a manifestement conservé des momies tatouées susceptibles de déclencher des polémiques ainsi que des sculptures vaudoues qui devraient être l'objet d'une exposition ultérieure. Dans le cercle des arts primitifs, l'excitation relative à certaines pièces mises en vente est grande. La part consacrée aux arts premiers (une expression qu'il a d'ailleurs inventée) dans les estimations est majeure : un peu plus de 4 millions
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Exposition « Mumuye »
ART GALLERY L'OEIL ET LA MAIN
41 RUE DE VERNEUIL 75007 PARIS
EXPOSITION DU 2 NOVEMBRE AU 6 DECEMBRE 2009
WWW.AFRICAN-PARIS.COM
Le Nigéria demeure l'un des pays africains les plus dynamiques en matière de production artistique, et ce dans tous les domaines. C'est à la sculpture nigériane et à ses artistes que la galerie L'Oeil et la Main a choisi de rendre hommage, à travers l'exposition "Mumuye". C'est
une vision à la fois globale et diversifiée de l'esthétique mumuye qui est proposée aux visiteurs et aux collectionneurs, à travers la présentation d'une quinzaine de pièces d'une grande qualité plastique.
Le groupe ethnique des Mumuye est situé au Nord-Est du Nigéria et se compose de sept sous-groupes aux coutumes et aux croyances distinctes. Leur origine commune se situerait, selon la tradition orale, plus au Sud du pays. Du fait de la difficulté d'accès à leurs territoires, les Mumuye ont longtemps été préservé de toute influence extérieure, jusqu'à leur soumission définitive aux Anglais dans les années 1950. En effet leur premier contact avec les Européens date de 1892, quand ils prêtèrent main forte au Jukun dans leur lutte contre les Fulani, eux-mêmes armés par les Français.
Les Mumuye vouent un culte au Vabo, c'est à dire aux divinités intermédiaires agissant entre les êtres humains et le dieu suprême La, associé au soleil. La statuaire mumuye a connu un grand succès parmi les amateurs d'art africain
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Exhibition "African Hairstyles"
After the monographic exhibitions devoted to ethnic Mumuye and Bambara, the gallery's eye and the hand begins 2010 with an exhibition on the theme of the often overlooked African hairstyle. Often overlooked as belonging to the sphere of the arts "popular", hair is however of particular importance in Africa, both aesthetically and symbolically.
The hairstyle can both grow its appearance but also to affirm their identity or social status. Some hairstyles are immediately identifiable, such as hairstyling splayed Mangbetu of the Democratic Republic of Congo or the hairstyles solidified ocher Namibia. Others refer to a hierarchical system more complex. Ancient art, hair is also found in modern African art production, through paintings advertising kiosks hairdressers or barbers, or in African-American fashion. Both ornaments and symbols of identity, the hairstyles worn by different ethnic groups are reflected in their art. Although they represent gods or ancestors, masks and statues are the hairstyles of the living.
In Africa the hairstyle is still practiced by family members or trusted friends. In addition to the social aspects of the event, the hair, placed in the hands of enemies, could become an ingredient in the production of dangerous charms or "medicines" that could hurt their owners. Mostly it is women cap the women and men that cap men.
As scarification, hairstyles to identify gender, ethnicity, stage reached by the person in the cycle of life, status and personal taste. Scholars,
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STRENGTH AND MEASUREMENT
The discovery of "primitive art": an art of strength
Shapes and shape functions
Deities and ancestors
The living wood
Force and Measurement
Develop an aesthetic of black Africa is seen as a risky business in many ways. Is it legitimate to isolate these objects, that today we call art, the general framework of their relations and their cultural constraints? Can we submit to a test that has never existed in the minds of their creators? And can we finally see in this art - if we 'take on this term - a uniform phenomenon, despite the wide variety of both regional and local styles we offer this huge continent, following lengthy Historical developments often poorly understood? Finally, remember that this approach excludes large regions, including Africa white, that is to say the Mediterranean area with its ancient history, the eastern and southern Africa whose pastoral peoples have given rise to cultures almost without images, and finally these hunting societies, which, even in our time have not passed the stage of evolution of prehistoric rock paintings which are the main evidence of an artistic production that appears at various points the continent. Similarly, we must exclude from our contribution to the aesthetics of black African art the old feudal societies, including Benin. Our discussion is therefore limited to large areas farmers, the true cradle of
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AFRICAN SCULPTURE
Introduction
Context of African sculpture
Places of traditional African sculpture
Canons of African sculpture
Techniques and creative
Aesthetic
Role of African sculpture in the middle
Universal impact of African sculpture
Bibliographic
Introduction
Never has been written about as much ink as traditional African sculpture. Ever, despite all attempts, the man has managed to evacuate his mental field, much less its history, that is to say of his encounter with the other. It has been a cornerstone to measure the "civilization" of the black man and his ability to create capacity variously appreciated throughout history until early this century, cubism helping, the unanimously begins to make the exceptional nature of African sculpture that was always confused with African art which it is a party, probably the most important, if one were to judge solely by the number Parts created that we have reached.
Context of African sculpture
We can talk about African sculpture in isolation from the rest of the arts of Africa south of Sahara. Every word in this area is responsible not only meaningless but history, and if we chose the term "African art" is to fully assume all we have inherited from the past in
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VIE ET MORT DES OBJETS DE SURFACE
" Ce que les Noirs adorent, ce n'est pas la pierre, l'arbre, la rivière, mais l'esprit qu'ils croient y résider. " (J. THEILHARD DE CHARDIN La Guinée supérieure et ses missions)
Vie des objets de surface
Les objets rituels, masques, statues, mobilier, utilisés en surf ace, jouent dans la société africaine traditionnelle, m rôle bien plus important que les objets funéraires, destinés à'être enterrés. Il faut leur adjoindre une petite quantité de pièces au double emploi (parures, mobilier sacré) qui accompagnent le mort dans sa tombe, comme à Igbo-Ukwu au Nigeria, ou certains objets funéraires trouvés fortuitement et réutilisés en surface, comme chez les Kissi en Guinée, ceux de la culture nok ou de celle d'Owo au Nigeria.
En Afrique, les esprits sont partout présents. Un homme devient souvent plus important après sa mort que pendant sa vie. Les signes de surface fonctionnent par ensembles et sous-ensembles, dans un rapport étroit entre le rôle qu'ils jouent et celui de leurs manipulateurs ; il existe des objets collectifs (souvent les masques), semi-collectifs (de nouveau les masques et une petite partie de la statuaire) et ceux
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