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GALERIE ART PREMIER AFRICAIN GALERIE ART PRIMITIF AFRICAIN AFRICAN ART GALLERY
African Paris Gallery L'Oeil et la Main. Art premier primitif africain
Paul Signac, Sur l'émail d'un fond rythmique de mesures et d'angles, de tons et de teintes, Portrait de M. Félix Fénéon en 1890, Opus 2171.
Félix Fénéon en 1901 par Maximilien Luce.
Félix Fénéon est un critique d'art, journaliste et directeur de revues français, né à Turin (Italie) le 22 juin 1861 et mort à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) le 29 février 1944. Anarchiste, il est inculpé, en 1894, lors du procès des Trente
Jean Paulhan a écrit un essai intitulé Félix Fénéon ou le critique : Félix Fénéon incarne en effet avant tout le critique au goût très sûr, qui savait que Rimbaud, Jules Laforgue, Stéphane Mallarmé, Paul Valéry et Apollinaire seraient les grands écrivains de son temps et non Sully Prudhomme ou François Coppée, et qui rendait justice aux impressionnistes puis post-impressionnistes quand ses confrères encensaient les Pompiers.
Le Prix Fénéon, littéraire et artistique, est créé en 1949 à l'initiative de la veuve de Félix Fénéon, Fanny Goubaux.
De 1881 à 1894, Félix Fénéon fut employé au ministère de la guerre. « Personne ne savait comme lui rédiger un rapport sur n'importe quoi, affirme un de ses collègues cité par Octave Mirbeau, et il se faisait une joie de
En 1937, le hasard d'une exposition1 mit en présence deux sièges à cariatide « royaux »2 d'origine Luba (Zaïre) qui offraient entre eux de frappantes similitudes, tout en présentant d'étroites analogies avec la célèbre porteuse de coupe agenouillée, conservée au Musée de Tervuren3. Tout en entrant incontestablement dans l'orbe de la grande statuaire des Baluba (plus précisément du groupe des Bahemba-Bakunda), ces œuvres s'écartaient à tel point des canons esthétiques fondamentaux de ce peuple que l'organisateur de l'exposition, Fr. M. Olbrechts, acquit la conviction qu'elles étaient de la main d'un artiste unique dont le génie, profondément original, n'avait su se plier aux normes esthétiques imposées par la Tradition. « Pour la première fois, note M. Leiris, l'idée de l'individualité d'un sculpteur africain (était) mise en avant »4.
La porteuse de coupe de Tervuren, longtemps surnommée « Kabila la mendiante »5, avait par son originalité plastique et le profond mystère qu'elle semble receler intrigué de nombreux esthètes, des cubistes (C. Einstein) aux surréalistes (Ph. Soupault). Mais l'on attribuait volontiers ce
La promotion des arts africains : survol historique d'un processus
En Occident, l’acquisition d’objets originaires d’Afrique remonte à l’époque de la Renaissance. Les États européens entament alors des expéditions commerciales vers d’autres contrées à la recherche de produits nouveaux.
Le discours sur les objets évolue selon le contexte idéologique et scientifique de l’Occident depuis le XVe siècle jusqu’à nos jours. Les pièces acquises par les Européens dans les sociétés africaines subissent alors 3 phases majeures d’appropriation et d’interprétation : (1) comme curiosité (XVe – XVIIIe siècle), (2) en tant qu’objets ethnographiques ensuite (XIXe siècle) et finalement (3) comme œuvres d’art (à partir du XXe siècle).
LES EUROPÉENS EN AFRIQUE
Le contexte historique de l’Europe du XVe et du XVIe siècle présente les premières manifestations idéologiques ayant participé à l’installation des colonies sur le continent africain. La montée de la classe bourgeoise dans le système économique lui permet d’imposer ses idées dans le développement des mentalités, principalement par les valeurs du marché économique et du progrès technique, vecteur de richesse. Ainsi, la découverte des autres continents est motivée par la recherche de nouveaux produits.
Les premières expéditions européennes vers le continent africain ont un caractère commercial indéniable et, elles remontent au XVe siècle. Elles ont d’abord lieu sur les côtes et permettent l’établissement de
Broché: 207 pages - Editeur: Pierre Terrail (15 décembre 2002) - Collection: Arts Primitifs - Langue: Français
ISBN-10: 2879390125 - ISBN-13: 978-2879390123
Descriptions du produit:
L'Afrique ne connaît pas la distinction occidentale entre beaux-arts et arts décoratifs. Mariage raffiné et subtil de l'ornement et de la forme, l'objet africain, qu'il soit rituel ou domestique, est à lui seul une histoire. Il puise aux richesses des mythes fondateurs de la mémoire collective, il respecte les normes esthétiques et symboliques de la tradition et emploie des procédés de fabrication ancestraux. Rien dans l'objet africain n'est arbitraire : si la forme obéit toujours aux exigences pratiques, elle témoigne aussi d'une certaine vision du monde. L'illustration somptueuse de cet ouvrage dévoile plus de cent quatre-vingts objets reproduits en couleur qui proviennent des collections particulières et des musées les plus prestigieux du
LES DOGON: Notion de personne et mythe de la création
Détails sur le produit:
Broché: 156 pages - Editeur: L'Harmattan (3 mai 2000) - Collection: Passerelles de la mémoire - Langue: Français - ISBN-10: 273848235X - ISBN-13: 978-2738482358
Présentation de l'éditeur:
Spécialiste mondialement reconnue de l'Afrique centrale et de l'Ouest, Germaine Dieterlen connaît et fréquente les Dogon depuis 1937. Ce volume ouvre à la découverte du monde dogon, de la pensée dogon, et du mythe de la création qui étaie cette pensée et entretient une remarquable mémoire collective à partir de deux axes: la notion de personne et le mythe de la
Ethnologue français. En 1931, soutenu par Paul Rivet, il organisa une expédition de Dakar à Djibouti au cours de laquelle li explora le pays Dogon. En 1941 il devint directeur de l’institut des langues et civilisations orientales et il obtint en 1942 la chaire d’ethnographie de la Sorbonne. Sa mission la plus importante fut sans nul doute celle de 1946-1947 au Mali. Ses entretiens avec Ogotemmeli lui révélèrent le rôle déterminant des mythes dans l’organisation sociale des Dogon et furent prétexte à la rédaction de son œuvre majeure : «Dieu d’eau» (1948). Parmi ses autres publications : "Masques dogons" ( 1938), "Renard pale. Ethnologie des Dogon" écrit en collaboration avec G. Dieterlen (1965).
Dieu d'eau, entretiens avec Ogotemmêli ( Fiche de lecture)
L’art des Dogon du Mali est l’un des plus connus parmi les oeuvres issues des cultures d’Afrique.
Outre les chefs-d’oeuvre qui ont fait la renommée de l’art dogon, l’exposition présente des pièces cultuelles, ou même d’usage quotidien, qui évoquent les préoccupations métaphysiques et esthétiques des populations les ayant produites. Les typologies de ces objets, aux techniques virtuoses et variées, ont été rarement dévoilées en regard des grandes pièces de la statuaire.
Plus de dix siècles d’histoire des peuplements, des influences artistiques et culturelles sont ainsi parcourus à travers un rassemblement unique de chefs-d’oeuvre incontournables et de pièces du quotidien inédites qui témoignent du peuplement progressif du pays dogon et de la richesse de sa diversité stylistique.
L’exposition créée au musée du quai Branly entend restituer toute la force de l’art de la sculpture telle que l’ont conçue les Dogon, qu’il s’agisse du bois ou du métal, de pièces imposantes ou de puissants objets de petite dimension. Hélène Leloup
Sur les 2000 m2 de la Galerie Jardin, l’exposition DOGON se compose de trois grandes parties thématiques qui illustrent l’histoire de l’art et de la culture du peuple dogon au travers de productions artistiques variées.
Introduction : Histoire et origines des migrations des Dogon
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LE FORGERON
la place et le rôle du forgeron, sont essentiels pour la société Dogon, il nous a paru important de présenter une synthèse sur ce personnage qui ne peut se comprendre hors du contexte du mythe fondateur,
le forgeron n'est pas uniquement l'artisan habile qui travaille le fer et le bois, dont les serrures. il occupe une place de premier plan comme héros-civilisateur dès l'origine de la création du monde par Amma, Dieu unique, omniscient, omniprésent et éternel.
le forgeron dans la cosmogonie
Amma pour remédier au désordre causé par la désobéissance de Ogo, envoya sur la terre, une arche transportant le Nommo mâle ressucité, maître du verbe, et de l'eau, l'arche contenait également les animaux, et végétaux qui devaient occuper toute la terre. après la descente de l'arche, la terre dessechée par l'inceste d'Ogo, reçut la pluie bienfaisante, source de vie et de fécondité : une première mare accueillit le Nommo ressucité. c'est alors qu'Amma créa d'autres êtres qui descendirent sur terre isolément, : avec la jumelle de Nommo, il envoya ainsi le forgeron, "dyemme na, le grand sac" fait du cordon ombilical resté accroché au placenta de Nommo sacrifié et du sang qui en avait coulé. le forgeron est donc le jumeau du Nommo, purificateur son représentant sur terre. les forgerons sont ainsi parfois appelés Serem, témoins du Nommo. cette gémélité se traduit par des expressions, qui les associent au sang, dont ils sont faits, "le Nommo et le forgeron, sont du sang rouge comme une boule resplendissante" Nommo et forgeron sont jumeaux, tous deux sont rouge comme le cuivre. sa desecente
Evalués a quelques cinq cents mille les Dogon du Mali sont un des peuples les mieux connus d’Afrique occidentale grâce aux nombreuses études que leur rituel et leur art ont suscité depuis la fin du XIX siècle et surtout depuis les années 30.
Ils occupent le rebord d’un plateau rocheux aride qui s’incline en pente douce au nord ouest vers la plaine marécageuse du Niger, et qui au sud est de Bandiagara a Doucentza surplombe en une ligne de falaises abruptes les plaines sableuses du Seno, vers le Burkina Faso et le pays Mossi.
C’est sans doute au début, du XV sous le règne de l’empereur du Mali Kango Manso Moussa , que les Dogon qui disent venir du Mandé mais restèrent longtemps réfractaires à l’islam, auraient atteint les falaises de Bandiagara. Leur histoire orale nous apprend qu’ils ne sont pas les premiers habitants du pays où ils vivent actuellement ; les mythes légendes et traditions perpétuent le souvenir de leur prédécesseurs. Les premiers d’entre eux auraient été de petits hommes rouges , les Andoumboulou qui furent progressivement délogés par les Tellem. Ceux-ci seraient apparentés a une population vivant actuellement au Burkina Faso dans le Yatenga septentrional les Kurumba.
Les Dogon descendraient de 4 familles ; qui auraient peuplés durant les premières années du XV l’actuel pays Dogon après avoir fui leur région d’origine, ils chassèrent les Tellem qui abandonnèrent dans les grottes de la falaise aménagées en habitations, greniers, cimetières, sanctuaire un
Partager : Comment percevoir les arts primitifs ? Un colloque analyse les points de vue opposés des esthètes - l'objet est beau - et des anthropologues - l'objet est révélateur de la culture.
Un peu cachés par un intitulé exagérément neutre (« Art et anthropologie : perspectives »), les propos du colloque international qui s'est tenu au siège du CNRS parisien du 6 au 8 novembre 2002 ne pouvaient que tinter aux oreilles des responsables du futur musée du quai Branly, consacré aux Arts et Civilisations. Ce grand projet, que l'on peut dire présidentiel, a en effet soulevé ces dernières années quelques tempêtes dans le milieu de l'anthropologie, avant d'être - de bon ou mauvais gré - accepté par la communauté scientifique. A l'origine de cette querelle : le démantèlement du musée de l'Homme, établissement scientifique, au profit d'une autre structure, plus soucieuse de mettre en valeur les arts dits primitifs (ou « premiers », en langue châtiée). Quelle différence ? Soit une collection de magnifiques pagnes trobriandais, ouvragés et empourprés avec goût. On n'en fera pas la même exhibition selon qu'on y voit un objet rituel offert lors d'une cérémonie mortuaire, un « échantillon de culture », un exemple de technologie mélanésienne... ou une parure puissamment décorative, un « bel objet ».
Conflit de registres Cette tension est bien illustrée par le propos de Nathalie Heinich : entre « esthètes » et
DES EXHIBITIONS RACISTES QUI FASCINAIENT LES EUROPÉENS
Ces zoos humains de la République coloniale Comment cela a-t-il été possible ? Les Européens sont-ils capables de prendre la mesure de ce que révèlent les « zoos humains » de leur culture, de leurs mentalités, de leur inconscient et de leur psychisme collectif ? Double question alors que s’ouvre enfin, à Paris, au c ur du temple des arts - le Louvre -, la première grande exposition sur les arts premiers.
Par Nicolas Bancel, Pascal Blanchard et Sandrine LemaireLes zoos humains, expositions ethnologiques ou villages nègres restent des sujets complexes à aborder pour des pays qui mettent en exergue l’égalité de tous les êtres humains. De fait, ces zoos, où des individus « exotiques » mêlés à des bêtes sauvages étaient montrés en spectacle derrière des grilles ou des enclos à un public avide de distraction, constituent la preuve la plus évidente du décalage existant entre discours et pratique au temps de l’édification des empires coloniaux.
« Cannibales australiens mâles et femelles. La seule et unique colonie de cette race sauvage, étrange, défigurée et la plus brutale jamais attirée de l’intérieur des contrées sauvages. Le plus bas ordre de l’humanité (1). »
L’idée de promouvoir un spectacle zoologique mettant en scène des populations exotiques apparaît en parallèle dans plusieurs pays européens au cours des
DES EXHIBITIONS RACISTES QUI FASCINAIENT LES EUROPÉENS
Ces zoos humains de la République coloniale Comment cela a-t-il été possible ? Les Européens sont-ils capables de prendre la mesure de ce que révèlent les « zoos humains » de leur culture, de leurs mentalités, de leur inconscient et de leur psychisme collectif ? Double question alors que s’ouvre enfin, à Paris, au c ur du temple des arts - le Louvre -, la première grande exposition sur les arts premiers.
Par Nicolas Bancel, Pascal Blanchard et Sandrine LemaireLes zoos humains, expositions ethnologiques ou villages nègres restent des sujets complexes à aborder pour des pays qui mettent en exergue l’égalité de tous les êtres humains. De fait, ces zoos, où des individus « exotiques » mêlés à des bêtes sauvages étaient montrés en spectacle derrière des grilles ou des enclos à un public avide de distraction, constituent la preuve la plus évidente du décalage existant entre discours et pratique au temps de l’édification des empires coloniaux.
« Cannibales australiens mâles et femelles. La seule et unique colonie de cette race sauvage, étrange, défigurée et la plus brutale jamais attirée de l’intérieur des contrées sauvages. Le plus bas ordre de l’humanité (1). »
L’idée de promouvoir un spectacle zoologique mettant en scène des populations exotiques apparaît en parallèle dans plusieurs pays européens au cours des années 1870. En Allemagne, tout d’abord, où, dès 1874, Karl Hagenbeck, revendeur d’animaux sauvages et futur promoteur des principaux zoos européens,
Le groupe ashanti (ou Asante[1]) forment l'un des groupes ethniques[2] de l'ensemble akan au Ghana.
Ils parlent le twi qui est un des dialectes akan[3] appartenant au groupe des langues kwa. Drapeau des Ashanti
Implantation géographique Empire Asante au Ghana
La fédération ashanti se développe au XIIIe siècle. La capitale en est Kumasi[4]. Au XIXe siècle, cette civilisation atteint son apogée et occupe près de 70% du Ghana actuel. La communauté ashanti a été la plus grande de tous les États akan et la plus longue dans le temps. Noyau du clan Oyoko, Asantemanso demeure leur lieu d'origine[5].
L'ensemble du monde akan s'étend aussi en Côte d'Ivoire où il comprend les éthnies intérieures ou littorales, Appolos (Nzema), Anyi, Baoulé, Alladian, Adjoukrou, Tchaman surnommés "Ébrié", Abouré, Avikam, Laouien, Abron, etc. Histoire Origine
Les Ashanti étaient très divisés et vivaient en petits groupes qui vont former des villes-États vassaux du royaume denkyira. Les Oyoko vont devenir dominants et s'imposer[6]. Osei Tutu sera le premier roi à unifier ces groupes. L'empire était tout d'abord continental puis l'année 1806 marque le début de la conquête de la région côtière. Les Anglais finiront par annexer le Ghana. Ce sera la fin de l'empire ashanti[4]. Empire
* 1620 : les Ashanti sont les vassaux du puissant royaume Denkyira, l'un des deux royaumes avec les Adansi à se partager la forêt alors que les Akwamu sont vers les mines d'or de Birin ainsi que la région d'Accra. * Osei Tutu (1695–1712 ou 1717) est le premier roi qui unifie les Ashanti. Dans ses jeunes années, alors qu'il n'était
Environ trois million de personne habitant principalement dans le centre de la côte d'Ivoire se définissent comme Baoulé. Pourtant après une étude plus attentive il semblairaient que ces hommes s'identifient à des villages ou des groupements de villages (allant de 4 à 12 ) qu'à une ethnie. bien que les réalité ethnique des Baoulé reste msytérieuse on ne peut pour autant nier l'existence d'un style Baoulé. les artistes qui utilisent ce style parlent Baoulé et à l'étranger leur art est connu sous le nom Baoulé depuis plus d'un siècle.
les Baoulé sont décrits comme l'un des plus grands groupes ethniques de la côte d'Ivoire et ont joué un rôle essentiel dans son histoire au XX. De tous les peuples d'Afrique de L'ouest ce sont eux qui ont mené la guerre de résistance la plus acharnée, contre la colonisation française. Ils ont préservés avec ténacité leurs objets et leur croyance traditionnelles. Les Baoulé ont dans l'ensemble rejeté toutes formes de christianisme et ont été peu réceptif à l'islam
Baoulés
Baoulés
african Baule
Populations
Population totale
3 000 000
Populations significatives par régions
Côte d'Ivoire
3 000 000
Autre
Langue(s)
Baoulé
Religion(s)
Christianisme, religion traditionnelle
Groupe(s) relié(s)
proches:Akan, Agnis
sous-groupes:Akolé, Sah, Agba,Gbloh, Ahitou, Kôdé, Nanafouè,Sasiklan,
Orlan est une artiste plasticienne française née le 30 mai 1947 à Saint-Étienne.
Biographie
Orlan est une artiste multimédia (peinture, sculpture, installations, performance, photographie, images numériques, biotechnologies). C'est une des artistes françaises de l'art corporel les plus connues du grand public en France et à l'étranger. Son œuvre se situe dans divers contextes provocateurs, légitimée par son engagement personnel.
Dès les années 1960, Orlan interroge le statut du corps et les pressions politiques, religieuses, sociales qui s'y impriment. Son travail dénonce la violence faite aux corps et en particulier aux corps des femmes, et s'engage ainsi dans un combat féministe. Elle fait de son corps l'instrument privilégié où se joue la relation entre soi et l'autre.
En 1978, elle crée le Symposium international de la performance, à Lyon, qu'elle anime jusqu'en 1982. Son manifeste de l'"art charnel" est suivi d'une série d'opérations chirurgicales - performances qu'elle réalise entre 1990 et 1993. Avec cette série, le corps de l'artiste devient un lieu de débat public. Ces opérations chirurgicales - performances ont été largement médiatisées et ont provoqué une vive polémique,
Introduction Contexte de la sculpture africaine Les lieux de la sculpture africaine traditionnelle Canons de la sculpture africaine Des techniques et des créateurs Esthétique Rôle de la sculpture africaine dans son milieu Impact universel de la sculpture africaine Indications bibliographiques
Introduction
Jamais sujet n'a fait couler autant d'encre que la sculpture africaine traditionnelle. Jamais, malgré toutes les tentatives, l'homme n'a réussi a l'évacuer de son champ mental et encore moins de son histoire, c'est-à-dire de sa rencontre avec l'autre. Elle a été une des pièces maîtresses pour mesurer la "civilisation" de l'homme noir et sa capacité à créer, capacité diversement appréciée tout au long de l'histoire jusqu'à ce que au début de ce siècle, le cubisme aidant,
Introduction Le sacré : le véritable paradigme Le vice dans la recherche en anthropologie du sacré La position du chercheur africain L'incohérence du vrai-faux paradigme de l'irrationnel L'importance de l'événement primordial Le culte des ancêtres : à la recherche d'une définition L'événement primordial : le phénomène agraire Les fondements biologiques Les fondements neurobiologiques Les fondements astronomiques Conclusion Bibliographie
" Pour le sculpteur noir, le meilleur masque, dit-on, est le plus efficace ; d'où vient son efficacité, sinon de la plénitude de son style ? " A. MALRAUX
L'artiste africain, pour nous, est resté longtemps anonyme. Et pourtant, il joue un rôle essentiel entre le visible et l'invisible ; il participe à la cohésion et à l'évolution de son propre groupe culturel ; éventuellement, à travers sa création, il peut toucher des communautés voisines.
FORMATION
En Afrique, dès l'enfance, il existe une éducation collective par "classes d'âge". Après les toutes premières années, au moment du passage de l'adolescence à l'âge adulte, (excision, circoncision), donc à la séparation des sexes, le jeune homme -car en Afrique, c'est uniquement l'homme qui peut devenir artiste- sera en principe dirigé par les sages, selon ses dons, vers différents secteurs de la vie sociale : la chasse, la parole, le chant ou la musique, la sculpture sur bois ou le travail de la forge. Alors il recevra un enseignement sur