Résultat de la recherche : 'familiar'
La promotion des arts africains : survol historique d'un processus
En Occident, l’acquisition d’objets originaires d’Afrique remonte à l’époque de la Renaissance. Les États européens entament alors des expéditions commerciales vers d’autres contrées à la recherche de produits nouveaux.
Le discours sur les objets évolue selon le contexte idéologique et scientifique de l’Occident depuis le XVe siècle jusqu’à nos jours. Les pièces acquises par les Européens dans les sociétés africaines subissent alors 3 phases majeures d’appropriation et d’interprétation : (1) comme curiosité (XVe – XVIIIe siècle), (2) en tant qu’objets ethnographiques ensuite (XIXe siècle) et finalement (3) comme œuvres d’art (à partir du XXe siècle).
LES EUROPÉENS EN AFRIQUE
Le contexte historique de l’Europe du XVe et du XVIe siècle présente les premières manifestations idéologiques ayant participé à l’installation des colonies sur le continent africain. La montée de la classe bourgeoise dans le système économique lui permet d’imposer ses idées dans le développement des mentalités, principalement par les valeurs du marché économique et du progrès technique, vecteur de richesse. Ainsi, la découverte des autres continents est motivée par la recherche de nouveaux produits.
Les premières expéditions européennes vers le continent africain ont un caractère commercial indéniable et, elles remontent au XVe siècle. Elles ont d’abord lieu sur les côtes et permettent l’établissement de
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ROBERTS F. Allen
Animals in African Art: From the Familiar to the Marvelous
Détails sur le produit:
Relié: 192 pages - Editeur: Prestel (1995) - Collection: African, Asian & Oceanic Art - Langue: Anglais
ISBN-10: 3791314556 - ISBN-13: 978-3791314556
Descrizione libro:
From the Familiar to the Marvelous. With a foreword by James Fernandez. New York: The Museum for African Art & Prestel, Munich 1995, 30.0 x 23.0cms, 192pp, colour illusts, very good+ paperback (exhibition catalogue) This book explores 125 Western & Central African representations of animals in various media and of exceptional aethetic quality. Roberts argues that they are useful metaphors for people's predicaments and mirror human
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Full text, digitalised by Lies Strijker and presented by the .Centre Aequatoria
Notes on the digitalisation and presentation
[Cover]
[1: empty]
[2]
IMPRIMI POTEST
Kanzenze, 12-2-1952
P. Simeon, o.m.f.
Sup. Reg.
IMPRIMATUR
Luabo-Kamina, 30-5-1952
+VICTOR PETRUS KEUPPENS
Vic. Ap. de Lulua
[3]
BANTU PHILOSOPHY
by
The Revd. Father PLACIDE TEMPELS
(Translated into English from "La Philosophie Bantoue" the French Version by Dr. A. Rubbens of Fr. Tempels' original work. The Revd. Colin King, M.A. Translator.)
With a Foreword to the English Edition by Dr Margaret Read, C.B.E.Ph. D.,M.A., formerly Professor of Education and Head of the Department Of Education in Tropical Areas, The
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WHAT IS AFRICAN ART?
SUPPORT NOTES FOR TEACHER
Learning & Information Department
Telephone +44 (0)20 7323 8511/8854
Facsimile +44 (0)20 7323 8855
education@thebritishmuseum.ac.uk
Great Russell Street
London WC1B 3DG
Switchboard +44 (0)20 7323 8000
www.thebritishmuseum.ac.uk
Commemorative head of a Queen Mother
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THE NEW CONGO COLLECTION
During the summer of 1912 the Museum acquired by purchase a collection of about two thousand
specimens consisting of weapons, utensils, ornaments, clothing and images from a number of African
tribes living in the Congo basin. This collection was, for the most part, obtained from the natives by the
well-known German traveler, Frobenius.
in a way which served at least to show what a variety of artistic activities and what a rich culture the in
a way which served at least to show what a variety of artistic activities and what a rich culture the
native Congo peoples possess.
native Congo peoples possess.
Visitors had an opportunity of admiring the wonderful carved wooden boxes and cups, |
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Enchères et émotions
AuteurRolande Bonnain-Dulon du même auteur
École des hautes études en sciences sociales
EHESS
Centre de recherches historiques
54, bd Raspail
75006 Paris
Au-delà de leur public bien sûr, les ventes aux enchères passionnent les sociologues et les ethnologues et ce, à juste titre [Matras-Guin, 1987 ; Quémin, 1993 ; Rémy 1990]. Grâce à eux, on a compris pourquoi cette pratique sociale qui mêle l’économique au symbolique, le rationnel aux émotions, l’individuel à une certaine forme de collectif attire tant de gens qui vont là comme au spectacle, par curiosité, sans avoir toujours l’intention de participer aux enchères. Ces chercheurs nous ont également montré le rôle que ces lieux ont joué sur la constitution des communautés diffuses et temporaires, la mise en place de rituels profanes, le vécu de la concurrence, le rapport aux objets, le métier de commissaire-priseur.
2 Avec cet article, nous visons à montrer la forte incidence du lieu et les effets de sa représentation sur l’existence, les pratiques et les particularités d’un certain monde[1] [1] On utilise ici le terme « monde » dans le sens que lui...
suite, celui des collectionneurs d’arts premiers[2] [2] L’expression « arts premiers » désigne ici, sans...
suite dont les objets acquièrent lentement le statut d’art classé, en particulier en ces temps où le Louvre les accueille.
3 Aujourd’hui, les anciennes puissances coloniales ne se livrant plus à des guerres de conquête, une pièce classée dans les arts premiers n’a guère
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African Art Exhibition of 1923
Collection Description
In 1903, Stewart Culin (1858–1929) became the founding curator of the Department of Ethnology at the Museum of the Brooklyn Institute of Arts and Sciences, now the Brooklyn Museum. He was among the first curators to recognize museum installation as an art form. He was also among the first to display ethnological collections as art objects, not as ethnographic specimens. This approach is evidenced in his exhibition Primitive Negro Art, Chiefly from the Belgian Congo. The exhibition opened in April 1923, and displayed African objects he had acquired in Europe from dealers.
These digital images of the African Art Exhibition held at the Brooklyn Museum in 1923 are from the Culin Archival Collection, the Museum Library, and the Digital Lab. This is a small selection of textual and visual documents; many more are available for viewing at the Brooklyn Museum
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Les arts premiers : nomenclature politique ou arts singuliers ?
Eugène Berg Diplomate, ancien ambassadeur en Namibie, au Botswana et aux îles Fidji. Auteur notamment de 'Non-alignement et Nouvel ordre mondial' (PUF, 1980), 'La Politique internationale depuis 1955' (Économica, 1990) et 'Chronologie internati''o''nale : 1945-1997' (PUF, « Que sais-je ? », 4e éd, 1997). Collabore depuis le n° 19-20 au travail de recension effectué dans la revue 'Le Banquet'.
L'inauguration du Musée du Quai Branly, au moment même où s'ouvrait le deuxième sommet France-Océanie, fut un des grands moments culturels du quinquennat de Jacques Chirac. Il lui sera sans doute ce qu'aura été le Centre Beaubourg pour Georges Pompidou, le Musée d'Orsay pour Valéry Giscard d'Estaing et la Grande Bibliothèque pour François Mitterrand. Qu'exprime ce lieu qui a fait depuis son ouverture l'objet d'un réel et soutenu engouement Lire la suite... ]
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Art africain traditionnel
L'art africain traditionnel, qui fut aussi appelé « art nègre », se subdivise en une multitude d'arts locaux. Les musées internationaux ayant longtemps négligé l'art africain[réf. nécessaire], de ce fait la plupart des chefs d'œuvre sont entre les mains des collectionneurs privés et des marchands, et certains d'entre eux ont réalisé depuis les années 1980 de véritables fortunes. Après les diverses indépendances, beaucoup d'Européens étaient rentrés en Europe avec souvent d'importantes collections et peu à peu, leurs collections ont alimenté les marchés aux puces et les ventes aux enchères.
Les objets
La diversité plastique de l'Art africain traditionnel montre une prodigieuse imagination et une intensité magique, révélant l'omniprésence du sacré — qui fascina quantité d'artistes et collectionneurs occidentaux au XXe siècle dont André Breton — et des rites complexes : cérémonies où se jouent la définition du pur et de l'impur, la perpétuation de la lignée, la légitimation des alliances, la force et la cohésion du clan.
La véritable passion de l'art africain se doit dans certains cas de respecter l'objet dans son intégralité, ce qui signifie donc par exemple d'accepter l'existence
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Treasures marks the National Museum of African Art's 25th anniversary as a Smithsonian museum. The first in a new exhibition series, Treasuresis an old-fashioned show about African art, reminiscent of the
exhibitions that represented avant-garde opinions of the early 20th
century. In 1926, Paul Guillaume, Parisian connoisseur and collector,
cautioned readers to defer learning about the history and meaning of
African art until they had studied African art purely as an art form,
because to do otherwise "tends to obscure one's vision of the objects
as sculpture."I chose the familiar--traditional sculpture--to reveal aesthetic variances, to see African art as form, not function. Treasures,
therefore, is about visual exploration and aesthetic discovery. Our
understanding of African art is prescribed by what we see, and often,
what we see is based on works displayed in museums. So, "Treasures" is
just that--a sampling that gives us a peek into the realm of African
art.  Westerners
and Africans alike revere well-made form. Each admires skillful
technique and execution, exquisitely rendered forms, pattern, balance,
symmetry, surface treatments and a sense of completeness. African
artists, however, strive to portray more than that. As metaphor or
symbol, their artworks embody the world of ideas and
beliefs--confirming their notions about themselves, life and death, the
universe and the spiritual realm. Yet, despite our cultural
presumptions that separate art from life, often separating aesthetics
from meaning, and our ignorance of or indifference to what it means and
how it is used, African art astonishes. An eclectic display of sculptures from East, West, Central, and southern Africa created between the 15th
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Enchevêtrement de cordes, accumulation d’éléments hétéroclites, petits
tas innommables, tels sont les objets de divination d’Afrique présentés
dans cet ouvrage. Ces figures de l’informe, perçues parfois comme
repoussantes et étranges, sont bien plus familières qu’on le suppose au
premier abord, et ne parlent pas d’autre chose que de la vie et des
innombrables fils de l’existence, qui ne cessent de se nouer et de se
défaire. Il ne s’agit pas là d’un quelconque hommage à une Afrique
mystérieuse et fétichiste, mais d’honorer la créativité humaine et la
variété des formes qu’elle sait emprunter.
Exposition. Musée du quai Branly (2009) Recettes des dieux : esthétique du fétiche Actes Sud 19,90 € Collectif sous la direction de Jacques Kerchache L'art africain Citadelles & Mazenod 199,00 € Faïk-Nzuji, Clémentine M. Arts africains : signes et symboles De boeck 42,00 € Collectif Empreintes d'afrique : art africain, art moderne L'atelier 9,91 € Bassong, Mbog Esthétique de l'art africain : symbolique et complexité L'Harmattan 21,00 € Diagne, Souleymane Bachir Léopold Sédar Senghor, l'art africain comme philosophie : essai Riveneuve 15,00 € Exposition.
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Mali
Le Mali est un pays d'Afrique de l'Ouest ayant des frontières communes avec la Mauritanie et l'Algérie au nord, le Niger à l'est, le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire au sud, la Guinée au sud-ouest et le Sénégal à l'ouest. Le point le plus haut est le Hombori Tondo (1 155 m) situé dans la partie centrale du pays.
Ancienne colonie française, le Mali (alors République soudanaise) devient indépendant en 1960. Sa capitale est Bamako, forte d'une population de 1 430 000 d'habitants en 2006.
Histoire
Le Mali possède une histoire très riche et relativement bien connue. Cinq empires ou royaumes importants s’y sont succédé : l’empire du Ghana, l’empire du Mali, l’empire songhaï, le royaume bambara de Ségou et l'empire peul du Macina.
Suite à l'invasion de la France en 1883, le Mali devient une colonie française sous le nom de Soudan français. Le 4 avril 1959, le Sénégal et le Soudan se regroupent pour former la Fédération du Mali, qui accède à l'indépendance le 20 juin 1960. Deux mois plus tard, le Sénégal se retire de la fédération et proclame son indépendance. Le 22
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Maurice de Vlaminck, est né à Paris le 04 avril 1876. Aîné des cinq enfants d’une famille flamande, le jeune garçon, élevé dans un milieu de mélomanes un peu bohêmes, s’intéresse d’abord à la musique mais commence, dès l’âge de douze ans, à peindre des paysages de bords de Seine. Il quitte sa famille à l'âge de 16 ans et s'installe à Chatou à proximité de Versailles, pour faire le métier de mécanicien. Il fait de la peinture à ses moments perdus, passion qu'il partage aussi avec le cyclisme. Il prend rapidement le métier de coureur cycliste qui lui permet de mieux gagner sa vie jusqu'à 18 ans où il rencontre Suzanne Berly qui deviendra sa femme. A l'issue d'une maladie vers l'âge de 20 ans, il quitte le sport et donne des leçons de violon. Il suit aussi les cours du peintre Robichon, mais il se lasse très vite de sa formation académique. C'est en 1900 qu'il rencontre par hasard André Derain, avec qui il se lie d'amitié et reprend la peinture. Esprit contestataire, il se passionne alors pour les idées anarchistes et donne même quelques articles au Libertaire. Il fait la découverte de Van Gogh qui l'impressionne considérablement. Vlaminck reconnaît d’emblée chez le peintre de "La Nuit étoilée" ou de "La Chambre à coucher" l’instinct de la couleur pure et une violence chromatique aux antipodes de toute démarche
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Tristan Tzara, de son vrai nom Samuel Rosenstock (né le 16 avril 1896 à Moineşti, Roumanie, mort le 25 décembre 1963 à Paris) était un écrivain, poète et essayiste de langue française et roumaine et l'un des fondateurs du mouvement Dada.
Biographie
La famille Rosenstock fait partie des 800 000 personnes juives recensées à qui le code civil en vigueur, à l'époque, interdit la citoyenneté roumaine. Élevé dans une certaine aisance matérielle grâce au père qui est cadre dans une société d'exploitation pétrolière, Samuel connaît une enfance et une adolescence sans histoire. Il suit un cours sur la culture française dans un institut privé, s'éveille à la littérature au lycée Saint-Sava et s'inscrit en section scientifique pour le certificat de fin d'études au lycée Milhai-Viteazul. C'est un bon élève et ses professeurs notent son ouverture d'esprit et sa curiosité infatigable.
La littérature roumaine du début du XXe siècle est fortement influencée par le symbolisme français. La revue "Litteratorul" d'Alexandre Macedonski tout en proposant des poèmes de Charles Baudelaire, René Ghil, Maurice Maeterlinck ou Stéphane Mallarmé n'en combat pas moins la tradition romantique. Avec son copain de lycée Marcel Janco, Samuel créé, en 1912, sa première revue "Simbolul" et s'imagine en "ange noir du symbolisme triomphant". Il y publie l'un de ses premiers
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LE MASQUE DANS LA SCULPTURE AFRICAINE
Aucune société humaine n’a ignoré le masque et celui-ci surgit dès le moment où l’homme accède à l’état de culture. De la Grèce antique à l’Amérique ancienne en passant par l’Asie et l’Océanie, les masques ont symbolisé les dieux, incarné la beauté et l’effroi, exprimé l’immanence et l’illusion mais aussi le calme, l’ordre et la sérénité. Il en fut ainsi des Gorgones dont parle Hésiode, des masques d’initiation du Péloponèse, des masques bugaku et nô du Japon, des masques barong de Java, des masques des Eskirno et des Indiens d’Amérique du Nord, des masques des Papou Orokolo de la Nouvelle-Guinée. En Afrique Noire, continent célèbre depuis le début de ce siècle pour la richesse de son art, la sculpture des masques est une dominante majeure de l’art plastique. Le masque peut ici être considéré comme un phénomène artistique caractérisé par son ubiquité et la diversité de ses formes et styles.
LE MASQUE SE RENCONTRE PARTOUT
On rencontre le masque dans les savanes des pays Soudanais et des pays Bantou comme on le rencontre dans les forêts du Golfe de Guinée et de la cuvette Congolaise. Or, ces régions recouvrent plusieurs types de civilisations : Les civilisations des clairières avec les Dan, le Vê et les Akan ; - Les civilisations des greniers avec les Dogon, les Sénoufo ; Les civilisations des cités avec les Mandingues et les Yoruba. Il s’agit là aussi de sociétés qui peuvent être patrilinéaires ou
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La littérature d'Afrique noireLa littérature moderne d'Afrique noire se situe au confluent de divers courants: ses propres traditions locales et diverses; l'impact des mondes islamiques et arabes; l'influence omniprésente du colonialisme européen et du christianisme. Les Africains se sont montrés particulièrement prolifiques depuis la Seconde Guerre mondiale; utilisant le français, l'anglais, le portugais et plus de quarante langues africaines, ils ont composé de la poésie, de la fiction, du théâtre, et inventé des formes d'écriture pour lesquelles il n'existe pas de descriptif dans le monde littéraire européen. Leurs oeuvres dressent le portrait de la réalité politique et sociale moderne, et s'attachent aux systèmes de valeurs, qu'ils soient ou non africains. Dans le même temps, leurs écrits sont fondés sur les traditions indigènes et des visions du monde typiquement africaines.Bien avant l'arrivée des Européens, avant même le développement de l'écriture, les peuples de l'Afrique sub-saharienne ont exprimé de façon artistique leurs pensées, leurs sentiments et leurs préoccupations les plus profonds, sous la forme de mythes, de légendes, d'allégories, de
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L'Afrique sous domination coloniale, 1880-1935
Directeur de recherche Professeur A.A. Boahen (Ghana)
En février 1976, au Nigeria, un homme était arrêté à un barrage de police entre Ibadan et Lagos. Il transportait avec lui deux sacs pleins de sculptures de bronze et de bois qu'on le soupçonnait d'avoir volées bien qu'il affirmât en être le propriétaire. Renseignements pris, l'homme disait bien la vérité. Récemment converti à l'islam, il vivait et travaillait à Ibadan dans un centre communautaire. Les effigies sculptées des divinités yoruba qu'il transportait avaient été amenées à Ibadan, comme tant d'autres, par des travailleurs migrants pour la satisfaction des aspirations spirituelles de ces artisans, petits commerçants, fonctionnaires et autres travailleurs migrants dans leur séjour provisoire. Mais le chef de la communauté, s'étant converti à l'islam, entreprit à son tour de convertir ses voisins. Converti à son tour, le suspect s'entendit signifier que les symboles de son ancienne croyance devaient disparaître pour permettre au centre communautaire de devenir une demeure digne de la présence spirituelle d'Allah. Incapable d'envisager de détruire ces objets, il résolut de les ramener dans son village, leur lieu d'origine, où ils ont été depuis réinstallés.
Cet
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